DATES 2010
Une quarantaine de dates en Europe pour ce tour 2010, dont une que nous n'oublierons jamais, le 3 juillet à Dortmund où nous avons eu la chance inespérée de rencontrer Rod après son concert. La tournée commence par Dubaï, passera par Moscou ou Tel-
Forty dates in Europe for this 2010 tour, one of which we will never forget, July 3 in Dortmund where we had the unexpected chance to meet Rod after his concert. The tour begins with Dubai, passing through Moscow or Tel Aviv to finish in Las Vegas at Ceasars Palace that Rod will invest for the first time and for many years.
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Rod Stewart live ! Here we go !
Let's go to Dortmund !
It's four o'clock in the morning this Saturday, July 3, and I can not imagine what will happen tonight. We have an appointment at 7:30 place of Italy with Etienne and Christophe who one evening on MSN changes our plans. We were the ones who had to take away him and he's the one who take us withn him. ! His car is bigger, the trip will be more comfortable. We load the suitcase and a bag specially reserved for banners, photos, stuffed animals, all we have planned to offer if we ever manage to meet a few members of the band. For Etienne, whatever happens, we will able to meet Jimmy Roberts and the singers. This hard and meticulous work allows us to hope that the evening in Dortmund will be unforgettable, even if we do not reach the Holy Grail.
We will not regret anything! I check one last time that we have not forgotten anything. Everything is there ! We have spend many days and even nights to making our "gifts". Between the banner on which it is necessary to integrate Lorelei McBroom, who misses the call on the photo, but of which we know by Etienne that it will be "one of the keys" of our happiness, and the photo of Jimmy Roberts transformed into modern painting, we have spend many hours on the computer to achieve the desired result.
The day before we left, I had not finished the teddy bear I wanted (vague utopia) to offer Rod if we had the foolish chance to meet him. I had to dress the teddy bear with a white T-
LAS VEGAS 2010 -
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Rod Stewart live ! Here we go !
Let's go to Dortmund !
Il est quatre heures du matin ce samedi 3 juillet, et je n'imagine pas ce qui va se passer le soir même. Nous avons rendez-
Nous ne regretterons rien ! Je vérifie une dernière fois que nous n'avons rien oublié. Tout y est ! Nous n'avons pas ménagé notre peine au cours des jours et même des nuits précédentes pour la réalisation de nos "gifts". Entre la bannière sur laquelle il faut intégrer Lorelei McBroom, qui manque à l'appel sur la photo, mais dont nous savons par Etienne qu'elle sera "l'une des clés" de notre bonheur, et la photo de Jimmy Roberts transformée en peinture moderne, nous passons de nombreuses heures sur l'ordinateur pour parvenir au résultat espéré.
La veille de notre départ, je n'avais pas encore terminé l'ours en peluche que je désirais (vague utopie) offrir à Rod si nous avions la chance insensée de parvenir jusqu’à lui. Il me fallait habiller l’ourson d'un tee-
Un bus, le RER, un changement, des couloirs à n'en plus finir, et nous arrivons place d'Italie, quasi déserte. A peine sortis du métro, Totof est là devant nous de l'autre côté de la place, nous appelant avec de grands gestes. Il est déjà là, lui qui vient de Fleury-
Moi qui déteste la marque Apple, je vais être totalement bluffée par le petit engin qui nous permet de rester en contact permanent avec les membres du band par l'intermédiaire de Facebook ! Ahurissant !... Ce qui va être très très utile pour entrer en contact avec Lorelei à qui Etienne, quelques jours plutôt, a donné mon numéro de portable et celui de Christophe, le sien connaissant quelques problèmes. Nous sortons religieusement les portables pour ne pas rater la sonnerie. L'ambiance dans la voiture bat son plein ! Les concerts live, les blagues d'Etienne qui nous laissent pantois, la bonne humeur de Totof, ... tout ça fait que nous arrivons en Belgique sans même que nous nous en apercevions...
A bus, the RER, a change, corridors in the subway endlessly, and we arrive place d'Italie, almost deserted. Just out of the subway, Totof is there in front of us on the other side of the square, calling us with big gestures. He is already there, he comes from Fleury-
Me who hates the Apple brand, I'm totally amazed by the little device that allows us to stay in permanent contact with members of the band via Facebook! That's going to be very useful to get in touch with Lorelei, to whom Etienne, a few days ago, gave my cell phone number and Christophe's, his own knowing some problems. We religiously go out the phones not to miss the ring. The atmosphere in the car is in full swing! Live concerts, Etienne's jokes that leave us speechless, Totof's good humor ... all that makes us arrive in Belgium without even noticing it ...
Lorelei Mc Broom, notre Lady de cœur !
Une voix impressionnante, un charisme indéniable et … un cœur gros comme ça ! Artiste polyvalente (chanteuse, compositeur, productrice), elle a travaillé avec les plus grands (Rolling Stones, Pink Floyd, Diana Ross, Lou Reed, Billy Idol ou Eurythmics). Rien ne nous laissait deviner, d'autant plus que c'est sa première tournée avec Rod, que nous allions rencontrer une personne aussi attachante. Nous avons été tous les quatre été émus par le temps qu'elle a bien voulu nous accorder, par sa générosité à tout mettre en œuvre pour que nous puissions parvenir jusqu'à Rod, et par sa très grande gentillesse tout au cours de cette merveilleuse journée. Thank you Lorelei !
Thank you Lorelei ! We love you forever !!
An impressive voice, an undeniable charisma and ... a heart big like that! A versatile artist (singer, songwriter, producer), she has worked with the greaters (Rolling Stones, Pink Floyd, Diana Ross, Lou Reed, Billy Idol and Eurythmics). Nothing left us guessing, especially since it was his first tour with Rod, that we were going to meet such an endearing person. We have be all four moved by the time she was kind enough to grant us, by her generosity to do everything possible so that we can meet Rod, and by her great kindness throughout this wonderful day.
Lorelei n'appelle pas ! Un petit message sur Facebook et hop, instantanément elle nous dit qu'elle est en train de prendre son petit déjeuner et qu'elle nous rappelle. Celui-
ça aussi ... et celui de Daniel venu en secours de l'Iphone un peu perturbé du côté belge), et au lecteur de CD, claque méchamment un fusible nous abandonnant à notre triste sort.
Totof s'arrête sur un parking belge pour changer le fusible coupable.
Nous arrivons en Allemagne où nous faisons connaissance avec les pompes GPL allemandes. Une belle frayeur quand j'entend un claquement suivi d'un nuage blanc. L'adaptateur n'est pas le bon. Totof retourne à la chasse au bon adaptateur dans la caisse en bois prêtée par la station service contre rançon (le badge conçu très professionnellement par notre Expert Fan Etienne). Nous en profitons pour faire une pause déjeuner sous le soleil qui ne tarde pas à nous assommer. Repli stratégique vers la voiture et la fraîcheur. Entre-
L’hôtel Best Western est tout proche de Westfalenhalle. Règne dans les alentours une petite ambiance de folie qui, nous ne sommes pas dupes, n’est pas due à la venue de Rod ce soir, mais au match imminent de l’équipe allemande de football
contre l’Argentine qui doit se jouer à 16 heures. Nous déposons les bagages rapidement à l’hôtel. La porte de l’ascenseur s’ouvre sur une magnifique affiche du concert de Rod. Bonne entrée ! Tandis que Totof et Etienne tente d’ouvrir la porte de
leur chambre avec une carte démagnétisée, nous partons de notre côté à la recherche de la chambre 223, même étage, mais dans un autre couloir... Nous avons l’habitude maintenant ! Restons cool ! Juste le temps de récupérer les cadeaux, les appareils photos, les drapeaux, les bannières, les peluches, …
Et nous nous retrouvons tous ensemble pour le grand rendez-
Etienne, notre Expert-
De petites cohortes de drapeaux défilent devant nous ça et là tandis que nous nous dirigeons vers la salle. Le concert est à 21 heures, les portes doivent s’ouvrir à 19 heures. Il n’est pas encore 16 heures quand nous arrivons. Déjà quelques fans allemands, anglais, espagnols, belges, attendent devant les portes. Amicales rencontres ou retrouvailles ! Gilles et Didier, Bernie et sa famille nous font la joie de nous rejoindre.
Lorelei does not call! A little message on Facebook and hop, she instantly tells us that she is having breakfast and that she recall us. It drags dreadfully her breakfast! It begins to be very hot, the weather forecasts says 36 ° C on Germany. The air conditioning of the car, with the cooler, two GPS and to the CD player, slap a fuse badly abandoning us to our sad fate.
Totof stops on a Belgian car park to change the guilty fuse.
We arrive in Germany where we get acquainted with German LPG pumps. A great fright when I hear a slam followed by a white cloud. The adapter is not good. Totof is looking for the right adapter in the wooden box provided by the service station against ransom (the badge designed very professionally by our expert-
The Best Western Hotel is close to Westfalenhalle. Reigns in the surroundings a small atmosphere of madness which, we are not fooled, is not due to the arrival of Rod tonight, but the imminent match of the German football team against Argentina which must be played at 16 hours. We deposit the luggage quickly at the hotel. The elevator door opens to a magnificent poster from Rod's concert. Good entry! While Totof and Etienne tries to open the door of their room with a demagnetized card, we leave on our side in search of room 223, same floor, but in another corridor ...! Let's stay cool! Just the time to collect gifts, cameras, flags, banners, stuffed animals, …
And we are all together for the big moment..
Etienne, our Expert-
Small cohorts of flags fly past us here and there as we head for the concert hall. The concert is at 9 pm, the doors must open at 7 pm It is not yet four o'clock when we arrive. Already some German, English, Spanish and Belgian fans are waiting outside the gates. Reunions beetwen friends or new meetings! We are happy that Gilles and Didier, Bernie and his family join us.
D’après les messages de Lorelei, nous devons la retrouver dès que les « sound checks » seront terminés. Au travers des portes vitrées, nous avons une vue directe sur les répétitions. Il est plus de 17 heures, les balances sons ont pris fin depuis un moment quand nous voyons venir vers nous trois superbes jeunes femmes. Lorelei n’est pas venue seule, elle est accompagnée de Di Reed et de Bridget Cady. Nos drôle de dames s’avancent sur une même ligne et d’un même pas vers la porte vitrée. Elles nous font signe d’aller sur le côté gauche pour nous ouvrir. Mais tout est fermé ! Elles ne peuvent pas sortir, nous ne pouvons pas entrer !... Nous avançons dans la même direction, elles à l’intérieur, nous à l’extérieur, à la recherche d’une porte ouverte. Nous perdons nos dames de vue pendant quelques instants et revenons vers l’entrée de la salle. Elles ont finalement pu sortir et Lorelei et Bridget se retrouvent dehors parmi les fans. Elles nous demandent de les suivre vers une autre porte sur le côté droit cette fois-
Etienne obtient un très grand succès auprès de Di qui lui déclare en voyant les photos et les mosaïques composées « Vous devez beaucoup m’aimer ». En découvrant la bannière « Rod has the dream team », Lorelei remarque le portrait d’elle que j’ai rajouté et me demande où je l’ai trouvé. C’est une photo que j’ai « emprunté » sur son propre site web et que j’ai dû travailler pour l’intégrer en harmonie avec le reste de la photo. Elle est ravie, je crois ! Pour la remercier de toute sa gentillesse, je lui tends un petit nounours (encore un !...) avec un coeur qui dit « I love you ». Elle semble soudain très émue, et bouleversée à mon tour, je m’aperçois qu’elle a les larmes aux yeux. C’est une image que je garderai toujours en mémoire.
According to Lorelei's messages, we need to find her once the sound checks are complete. Through the glass doors, we have a direct view of the rehearsals. It's past five o'clock, the sound balances have come to an end for a while when we see three beautiful young women come to us. Lorelei did not come alone, she is accompanied by Di Reed and Bridget Cady. Our funny ladies advance on the same line and at the same pace towards the glass door. They signal us to go on the left side to open us. But everything is closed! They can not go out, we can not get in! ... We're going in the same direction, they're inside, we're outside, looking for an open door. We lose our ladies for a few moments and return to the entrance to the hall. They were finally able to go out and Lorelei and Bridget were now outside among the fans. They ask us to follow them to another door on the right side this time. We guess behind the half-
Etienne is very successful with Di who says, after seeing the photos and mosaics composed "You must love me very much". Upon discovering the "Rod has the dream team" banner, Lorelei notices the portrait of her that I added and wonders where I found it. This is a photo I "borrowed" on his own website and I had to work to integrate it in harmony with the rest of the photo. She is delighted, I believe! To thank her for all her kindness, I offer her a little teddy bear (again!) with a heart that says "I love you". She seems suddenly very moved, and upset in my turn, I realize that she has tears in her eyes. This is an image that I will always remember.
Our hostesses explain to us that we must better give them all our little gifts and that they undertake to hand them over. What we do so well that we forget to keep some photos to be autographed in case we could meet Rod. It's still not a certainty! We give them the posters for Katja and Jimmy Roberts, a special cigar from Havana that Etienne got for Conrad, a Rod Band photo CD, the special "Castle Stewart" cuvées for Rod and another big Burgundy for Jimmy, and Roddy Bear which melting Bridget. We only make two pictures, and there our attention should have been drawn to the fact that the flash of the camera did not work. But in the emotion, nobody notices anything. They embrace us all warmly before leaving us ..
Nos hôtesses nous expliquent qu’il faut mieux leur donner tous nos petits cadeaux et qu’elles se chargent de les remettre. Ce que nous faisons si bien que nous en oublions de garder quelques photos à faire dédicacer au cas où nous pourrions rencontrer Rod. Ce n’est toujours pas une certitude ! Nous leur remettons les posters pour Katja et Jimmy Roberts, un cigare venu spécialement de la Havane qu’Etienne a récupéré pour Conrad, un CD de photos du Rod Band, les cuvées spéciales « Castle Stewart » pour Rod et un autre grand Bourgogne pour Jimmy, et Roddy Bear qui fait fondre Bridget. Nous faisons deux photos seulement, et là notre attention aurait dû être attirée par le fait que le flash de l’appareil ne fonctionnait pas. Mais dans l’émotion, personne ne remarque rien. Elles nous embrassent tous chaleureusement avant de nous quitter…
Encore sous le choc et pour ma part totalement bouleversée par l’incroyable gentillesse des trois choristes de Rod, nous retrouvons notre place dans la foule qui commence à arriver tout doucement. Sans doute la coupe du monde de football y est pour quelque chose. Nous suivons minute par minute le déroulement du match, en entendant les cris des supporters allemands à chaque but. Il y en aura quatre. "Adios Diego ! » comme l’annonçait le titre prémonitoire d’un journal allemand que j’avais vu à la réception de l’hôtel. Totof participe allègrement à la joie des supporters qui passent devant nous... dans l’autre sens cette fois-
C’est dans cette joyeuse atmosphère qu’Etienne déclare à toute l’assistance médusée « Ich bin eine Strudel ». Une vague d’incompréhension se lit sur tous les visages de nos amis allemands. Sans doute un effet inattendu de la chaleur ! La question se pose encore aujourd’hui « Pourquoi Etienne as-
Etienne et Totof, dès l’ouverture des portes, foncent en avant pour réserver nos places au premier rang. Nous passons le contrôle sans problème, même configuration qu’à Zurich, je ruse et je passe les appareils photos. Nous retrouvons nos deux compères déjà installés contre la barrière. Il fait vraiment très chaud et nous avons encore deux bonnes heures à patienter. Sur notre droite, des tables dressées ... Comment peut-
Vient à passer une jolie blonde que Totof semble connaître. Ils sont devenus amis sur Facebook trois jours auparavant... Elle est écossaise, s’appelle Gillian et a, de toute évidence, ses entrées auprès de Rod. Je n’y prête pas trop attention sur l’instant et remarque à peine l’excitation de Totof. J’attends avec impatience la délivrance de cette fournaise, persuadée que dès que Rod sera là, rien n’aura plus d’importance, ni la chaleur, ni les douleurs physiques dues à cette longue attente. Et c’est exactement ce qui se passe. Dès l’intro, tout va mieux soudain. Malgré que je sois tout près de la barrière, pendant tout le concert, Rod va rester le plus souvent sur ma gauche et je ne le verrai que par intermittence. La mort dans l’âme, je dois me résoudre à ne pas faire de vidéos. Daniel est collé contre la barrière et pourra « shooter » sans modération. Pour ouvrir le concert, Rod a changé la couleur de sa veste, celle-
« Love Train » est à peine sur les rails que nous sommes rejoints par Gillian et Ruth Hannuschka qui se faufilent devant nous pour passer le concert entre notre compagnie. Pour l’instant je ne connais que le prénom de Ruth et je n’ai pas encore fait le lien avec Smiler. Le spectacle est incroyable malgré la chaleur qui vaut aux musiciens l’autorisation de Rod lui-
Still in shock and for my part totally upset by the incredible kindness of our three ladies, we go back our place in the crowd that begins to arrive slowly. No doubt the football world cup is for something. We follow minute by minute the course of the match, hearing the shouts of the German fans on each goal. There will be four. "Adios Diego!" As announced by the premonitory title of a German newspaper that I saw at the reception of the hotel Totof happily participates in the joy of the fans who pass in front of us ... in the other direction this time.
It is in this joyful atmosphere that Etienne declares to all the dumbfounded audience "Ich bin eine Strudel". A wave of misunderstanding can be read on all the faces of our German friends. No doubt an unexpected effect of the heat! The question still arises today "Why did you say that? "Laughs and good mood combine to make us wait despite the heat until the doors open.
Etienne and Totof, as soon as the doors open, go forward to reserve our seats in the first row. We pass control without problem, I trick with security and I pass our cameras. We find our two friends already installed against the barrier. It's really hot and we still have two good hours to wait. On our right, tables set ... How can we eat during a Rod concert? I imagine a balloon landing in the middle of one of them! But this is not the worst, in addition to the heat, we must undergo Amy Winehouse in loop and she does not unanimity around us. Etienne is impatient at the unpleasant attitude of a man who tries to reach the barrier in defiance of the most elemental courtesy and who leans against him shamelessly. I fear the punch ! Determined to mark our territory, Daniel got out the banner "Rod has the dream team" to try to fix it on the barrier. Our Expert-
A pretty blonde that Totof seems to know comes with us. They became friends on Facebook three days ago ... She's Scottish, her name is Gillian is, and obviously has her entries with Rod. I do not pay too much attention to the moment and barely notice the excitement of Totof. I wait with impatience for the deliverance of this furnace, persuaded that as soon as Rod is there, nothing will have more importance, neither the heat, nor the physical pains due to this long wait. And that's exactly what's happening. From the intro, everything is better suddenly. Although I'm close to the barrier, during the whole concert, Rod will stay mostly on my left and I will see it only intermittently. The death in the soul, I must resolve not to make videos. Daniel is stuck against the barrier and can "shoot" without moderation. To open the concert, Rod wears a light blue jacket.
"Love Train" is just only on the rails that we are joined by Gillian and Ruth Hannuschka who slip past us to spend the concert in our company. For now I only know the name of Ruth and I have not yet made the connection with Smiler. The show is incredible despite the heat and Rod himself gives the musicians the authorization to remove their jacket. He cheekily invites our adorable chorists to do the same ... We will be entitled throughout the concert to small friendly gestures from them including musicians who come from our side at the edge of the stage to feast us of their virtuosity. Rod has really the dream team! Conrad Korsch will throw twice a guitar pick for Etienne who will catch one. Rod lets Bridget knock a ball in our direction that passes over our heads without one of us having the reaction of catching it. She tries her luck a second time with the permission of the boss but without succes.
Je tente de nouveau de faire une vidéo qui ne donne rien.
Coupe du monde oblige, Rod nous fait un cours très instructif sur les origines de cet instrument barbare qu’est la « Vuvuzela » photo à l’appui. Les tribus zoulous portaient cette corne sur un endroit bien précis de leur anatomie. Hilarité dans le public...
Le concert me paraît plus court que d'habitude, Rod va sacrifier quelques titres que nous aurions adoré entendre, mais la chaleur est telle qu’on ne peut réellement lui en vouloir.
Nous donnons de la voix comme jamais, nous aidant mutuellement d’un regard pour reprendre des forces quand les bras viennent à baisser. Ruth et Gillian devant nous ne sont pas les dernières à mettre l’ambiance soutenues par un Totof totalement déchaîné qui galvanise les alentours jusqu’au rappel qui hélas finit par arriver trop vite à notre goût. « Sailing » et « Baby Jane » mettent fin à ce concert incandescent tant en émotion pour nous qu’en conditions climatiques. Les lumières revenues, Lorelei est déjà là de l’autre côté de la barrière et nous demande la banderole que nous avons un peu de mal à décrocher. Elle a pas mal souffert elle aussi de la chaleur, de la poussière et des adhésifs. Elle a l’air pitoyable la pauvre banderole ! Lorelei nous demande d’attendre et nous la voyons partir avec , tous dépités, chacun ayant la même pensée. Nous n’aurons tout au plus qu’une simple dédicace ... Nous n’avons que peu d’espoir maintenant de rencontrer Rod lui-
Gillian et Ruth se sont envolées aussi subrepticement qu’elles étaient venues en début de concert. Nous restons derrière la barrière sans bouger. Nous attendons impatiemment le retour de Lorelei tandis que la salle se vide rapidement autour de nous…
Notre moral en a pris un grand coup, mais l’arrivée souriante et chaleureuse de Conrad Korsch qui vient nous rendre une petite visite éclipse momentanément notre déception. Le personnage est adorable et nous faisons quelques photos. Le flash ne fonctionne pas, mais il reste suffisamment de lumière pour quelles soient dirons-
I try again to make a video that gives nothing.
World Cup obliges, Rod gives us a very instructive course on the origins of this barbaric instrument that is the "Vuvuzela" with photo in support. The Zulu tribes carried this horn on a very specific place of their anatomy. Hilarity in the audience ...
The concert seems to me shorter than usual. Rod will sacrifice some titles that we would have loved to hear, but the heat is such that we can not really blame him.
We give voice like never before, helping each other with a look to gain strength when the arms come down. Ruth and Gillian in front of us are not the last to put the atmosphere supported by Totof totally unleashed that galvanizes the area until the encore that unfortunately ends up arriving too quickly for our taste. "Sailing" and "Baby Jane" put an end to this incandescent concert both in emotion for us and in climatic conditions. The lights come back, Lorelei is already there on the other side of the barrier and asks us for the banner that we have a little trouble to pick up. It also suffered a lot from heat, dust and adhesives. That looks pitiful the poor banner! Lorelei asks us to wait and we see her leaving with, all disappointed, each having the same thought. We will have at most a mere dedication ... We have little hope now to meet Rod himself. The only thing we knew was that he was staying in Germany that night and that was the welcome moment to try meet him …
Gillian and Ruth dispared as surreptitiously as they had come early in the concert. We stay behind the barrier without moving. We are anxiously awaiting Lorelei's return while the room is quickly emptying around us ..
Our morale has taken a big hit, but the smiling and warm arrival of Conrad Korsch who comes to visit us momentarily eclipses our disappointment. The character is adorable and we make some pictures. The flash does not work, but there is enough light for what will we say recoverable if not successful! ...
No sooner has he left us, than the security service asks us to leave the place, we speak a little explaining that we are waiting for the return of Lorelei, but we are forced to leave ... Halfway to the room, the miracle occurs then. Lorelei is back but without the banner and we see her talking with the security ... Big question! ... She accompanies us to the exit of the room and incredulous, we hear him ask us to wait again once outside the hall, in the lobby. The hope recovered, Etienne invites us to gather to enjoy the moment. We take our shoulders, head already with Rod, in a fraternal communion. "This time, my friends! ..."
When Lorelei comes back, she holds in her hands four round and blue passes! ...
.A peine nous a-
Quand Lorelei revient, elle tient dans ses mains quatre passes rond et bleus !...
We cross the hall in the other direction on the heels of our guide who leads us to the magical sanctuary where normally we must meet Rod. The roadies are busy valiantly dismantling the scene that will leave the next day for Berlin. The cables dragging on the ground make the descent of the stairs perilous. The cases suspended above our heads make us forget the why of our unusual presence in these places. We walk down a long corridor where a security guard takes care of us while Lorelei leaves in front of us.
Nous traversons la salle dans l'autre sens sur les talons de notre guide qui nous conduit vers le sanctuaire magique où normalement nous devons rencontrer Rod. Les roadies s'activent vaillamment au démontage de la scène qui doit partir le lendemain pour Berlin. Les câbles trainent au sol rendent la descente de l'escalier périlleuse. Les caisses suspendues au dessus de nos têtes nous font oublier le pourquoi de notre présence insolite dans ces lieux. Nous arpentons un long couloir où un agent de la sécurité nous prend en charge tandis que Lorelei part devant nous.
Soudain, Jimmy Roberts apparaît la main tendue vers nous. Je suis très impressionnée de le voir venir à notre rencontre. Je murmure que c’est un très grand honneur pour moi de le rencontrer. L’émotion doit se lire sur mon visage, il garde un long moment ma main dans la sienne. Nous le suivons vers la loge de Rod. A peine arrivés dans la pièce, je comprend à demi-
Encore plus intimidés et totalement désorientés, nous revenons sur nos pas. Ce que n’apprécie pas trop Jimmy Roberts. Il avait convenu deux personnes, pas quatre ! J’apprendrais par la suite que Rod a demandé à Christophe si c’était lui qui avait créé la bannière et qu’il lui avait répondu que c’était moi et Daniel ! Et Rod de dédicacer la banderole avec un « To Silvie » avec un deux « i » tellement touchant pour moi. Daniel et moi n'auront jamais de mots suffisants pour remercier nos deux amis de cet instant. Comment nous nous retrouvons devant Rod, je n’en sais rien ! Face à lui, tout devient blanc autour de moi. Je ne vois plus que lui, habillé tout en blanc, tellement imposant, c’est lui qui se penche vers moi et me tend la main que je prends machinalement sans m’en rendre compte. Tout se passe au ralenti, comme dans un film, rien n’est vrai. Il serre la main de Daniel à son tour qui me dit avoir vécu sensiblement la même chose.
Suddenly, Jimmy Roberts appears hand outstretched towards us. I am very impressed to see him coming to meet us. I whisper that it is a great honor for me to meet him. The emotion must be read on my face, he keeps a long time my hand in his. We follow him to Rod's lodge. Just arrived in the room, I understand at half-
Even more intimidated and totally disoriented, we retrace our steps. Which Jimmy Roberts does not like. He had agreed two people, not four! I would learn later that Rod asked Christophe if it was him who had created the banner and he answered that it was me and Daniel! And Rod to autograph the banner with a "To Silvie" with two "i" so touching for me. Daniel et moi will never have enough words to thank our two friends of this moment. How we find ourselves in front of Rod, I do not know! Facing him, everything becomes white around me. I can see only him, dressed all in white, so imposing, it is him who leans towards me and holds out his hand that I take mechanically without realizing it. Everything happens in slow motion, as in a movie, nothing is true. He shakes the hand of Daniel who tells me he has lived the same thing.
I see as in a dream Christophe tell Rod that it was a great show. Rod does not seem to agree, it was hot and he was tired. Yet nothing says on his face that he just made a concert under a heat damning half an hour earlier. He is superb. I may not be very objective. I do not know where I am! At the time of making the picture all together, Daniel releases the cameras, but they are set to make concert photos, without the flash ... And taken in a real panic, he can not reinstall the flash ... Luka, Rod's personal assistant make the pictures, but they will be too dark. Rod saw that the flash did not work and we redo the picture. That's when Christophe pushes me amicaly right next to Rod. Already in a state of advanced lethargy, I am absolutely paralyzed. The flash still does not work. Daniel on whom Rod put both hands on his shoulders is tense than ever, unable to reason, despite his obstinate attempts. It is catastrophic for us who waiting for that moment ... My dream continues.
J’aperçois comme dans un rêve Christophe dire à Rod que c’était un super show. Rod ne semble pas d’accord, il faisait chaud et il était fatigué. Pourtant rien n’indique sur son visage qu’il vient de faire un concert sous une chaleur accablante une demi-
Rod est juste devant moi le dos tourné, sa chemise blanche légèrement mouillée dans le bas du dos, penché sur la banderole, entouré de ses musiciens. Chacun signe la banderole. Au fond de la pièce, juste devant un grand miroir, j’aperçois Jean et Many Albeury que j’avais rencontrés à Toronto en 2001, ils viennent de Vancouver et suivent Rod autour du monde.
Rod is right in front of me with his back turned, his white shirt slightly wet in the lower back, leaning over the banner, surrounded by his musicians. Everyone signs the banner. At the back of the room, right in front of a big mirror, I see Jean and Many Albeury whom I met in Toronto in 2001, they come from Vancouver and follow Rod around the world.
While Daniel tries to reinstall the flash, Luka comes to see me, and there I wonder why I understand so well what he tells me ... He is French and he speaks to me in French, but in the state of hypnosis in which I find myself, I do not realize right away. He asks me if we can make him a copy of the two banners "Rod has the dream team" and that made for the concert of Antwerp in 2007 "Rod, Tonight's French fans are your's". We must ship them before July 13th. Totof gave him his cell number. I answer, "Yes, we will do it". As the minutes pass, Daniel resurfaces and manages to turn on the flash. He makes a picture of Katja Rieckermann with whom we exchange a few words. She is lovely, very sweet and poses adorably for the photo.
Tandis que Daniel essaie de réinstaller le flash, Luka vient me voir, et là je me demande pourquoi je comprends si bien ce qu’il me dit ... Il est français et il me parle en français, mais dans l’état d’hypnose dans lequel je me trouve, je ne réalise pas tout de suite. Il me demande si nous pouvons lui faire une copie des deux bannières « Rod has the dream team » et celle faite pour le concert d’Anvers en 2007 « Rod, Tonight’s French fans are your’s ». Nous devons leur expédier avant le 13 juillet. Totof lui a donné son numéro de portable. Je réponds « Oui, nous le ferons ». Au fil des minutes qui s’écoulent, Daniel refait surface et réussit à remettre le flash en route. Il fait une photo de Katja Rieckermann avec qui nous échangeons quelques mots. Elle est ravissante, très douce et pose adorablement pour la photo.
Dans l’euphorie, Daniel tente de prendre une photo de Rod. Cela va donner une superbe photo où Rod affiche un énorme sourire. Génial ! La seule bonne photo !... Etienne a pris une seule photo quand Rod et ses musiciens ont signé la banderole. Heureusement ! Sous le coup de l’émotion lui aussi, il n’a pas pensé à en faire d’autres, et Christophe n’a pas eu l’idée de sortir son Iphone ! ... Nous n’avons pas remarqué qu’Etienne discutait avec Rod et que Conrad prenait des photos. C’est dire l’émotion qui nous a étreint, Daniel et moi, quand nous verrons, plusieurs jours après, la photo d’Etienne et de Rod ! Un immense soulagement pour nous de voir notre Lord Scotty immortalisé au côté de Rod mais tant de regrets pour cette photo ratée de Christophe auprès de Rod.
In euphoria, Daniel tries to take a picture of Rod. This will give a great picture where Rod displays a huge smile. Awesome ! The only good photo! ... Etienne took a single picture when Rod and his musicians signed the banner. Fortunately! Under the influence of emotion too, he did not think to make others, and Christophe did not have the idea to release his Iphone! ... We did not notice Etienne talking to Rod and Conrad taking pictures. This is to say the emotion that gripped us, Daniel and me, when we will see, several days later, the picture of Etienne and Rod! A huge relief for us to see our Lord Scotty immortalized alongside Rod but so many regrets for the failed picture of Christophe with Rod.
Nous sommes là depuis un petit quart d’heure. L’ambiance est plutôt feutrée et très calme. Lorelei nous raccompagne dans le couloir. Nous la remercions chaleureusement pour toute la gentillesse et l’énergie qu’elle a déployée tout au long de la journée pour nous aider à vivre ce moment. En lui tenant le bras, je sens l’émotion me gagner de nouveau. Je ne l’oublierai jamais, Elle fut indéniablement la plus belle « clé » de la réussite du projet d’Etienne qui en comptait quelques autres,toujours présente tout au long de la journée à nos côtés, tellement adorable par sa gentillesse et sa patience.
Abasourdis et hagards, nous nous retrouvons dehors sans savoir où aller. Nous finissons par retrouver nos amis Bernie et sa famille, Gilles et Didier parmi d’autres fans à la buvette installée devant la salle qui diffuse de la techno si fort que nous avons un peu de mal à nous entendre. Notre hôtel est tout proche et c’est tout naturellement là que nous terminons la soirée autour d’une table et de quelques « big beers » à parler de Rod, du concert et de l’incroyable aventure que nous venons de vivre.
We have been there for a quarter of an hour. The atmosphere is rather muffled and very calm. Lorelei takes us back down the hall. We thank her warmly for all the kindness and energy she has shown throughout the day to help us live this moment. Holding her arm, I feel the emotion win me again. I will never forget it, It was undeniably the most beautiful "key" to the success of the project of Etienne who had a few others, but it's her who was always present throughout the day at our side, so adorable by his kindness and patience .
Stunned and haggard, we find ourselves outside without knowing where to go. We finally find our friends Bernie and his family, Gilles and Didier among other fans at the bar set in front of the room that plays techno so loud that we have a little trouble hearing each other. Our hotel is nearby and it is natural that we end the evening around a table and some "big beers" to talk about Rod, the concert and the incredible adventure we have just experienced.
Merci à Etienne et Christophe qui nous ont permis l’inimaginable, et avec qui nous avons partagé tous ces bons moments. Merci du fond du coeur.
Avec une pensée également pour tous ceux qui sont intervenus de près ou de loin, pour aider Etienne dans sa quête du Saint-
Never give up on a dream !
Thanks to Etienne and Christophe who allowed us the unimaginable, and with whom we shared all these good times. Thank you from the heart.
With a thought also for all those who intervened from near and far, to help Etienne in his quest for the Holy Grail, and especially Lorelei McBroom.
Never give up on a dream!
Dortmund -
LES PHOTOS DU CONCERT